Biographie

Je suis né à Martigues en 1974 par une belle journée ensoleillée dans une famille modeste, d’un père travaillant dans le BTP et une mère au foyer comme on le disait à l’époque. Cette fonction sociale qui de nos jour est devenus matériellement impossible était déjà en vois distinctions pendant mon enfance, une espèce de femme qui préférés voir grandir leurs enfant plutôt qui de participer à la course à la productivité. Ca fait un peut réac de tenir ce genre de propos sauf que moi gamin j’était content de rentrer chez moi manger de bon petit plats assaisonné d’amour plutôt que de manger des conserves à la cantine. C’était des choix de vie qui était encore jouable, vivre à 4 sur un salaire et qui de par la mutation économique est devenus impossible d’envisagé pour la grande majorité des ménagent qui n’arrive plus à bouclé les budgets avec deux salaire mais revenons en à nos moutons. Après une scolarité rapidement terminée, j’entre dans la vie active en 1992 sans passer le BEP structure métallique que je préparés depuis un 4ème technologique au lycée Jean Lurçat de Martigues. J’ai pris le parti de voyager dans ma vie sans bagage puisque pour devenir basketteur il plus important de muscler ses jambes plutôt que son cerveau. En attendant, je développe mon expérience sur le tas dans le BTP, ca change des bancs de l’école dans ces classes surchargées d’élèves hyper motivé pendant la récréation. Je continue à jouer au basket avec passion tout en voguant vers différentes profession. Mon pot me fait embauché dans la boite de monteur dans laquelle il travaillé pour les raffineries, les boites d’intérim pour différente missions dans le bâtiment, la mairie propose de vacations d’animateur sociaux culturel dans les cantines, l’armé m’invite à faire le service comme fusiller commando dans l’air de Corse, finalement j’ai été réformé P3 en 1995. A ma libération j’ai été embauché chez un maçon à La Couronne. Que des propositions et opportunité qui viennent à moi sans que je ne puisse atteindre mon objectif personnel, ce pour quoi j’ai dépensé beaucoup de sueur, énormément de volonté à usées quelques dizaines de paires de basquets sans que cette porte ci ne s’ouvre. Dans le sport comme dans tout autre domaine de la vie, il n’est question que de la présence de talent ou pas mais capacité d’influence ou pas. J’ai fini par renoncer à faire de ma passion un métier pour qu’il redevienne un jeu et me suis inscrit à une formation à l’AFPA d’Istres pour créer  mon entreprise dans la rénovation  en 2006 puis déposé le bilan en 2010 pour devenir essayiste, le stylo est beaucoup moins lourd que la truelle. J’ai essayé un moment mais c’est comme l’aïoli parfois ça ne prend pas, j’ai repris la truelle pour monter des murs et le pinceau pour repeindre des plafonds pas en verre ceci.  Sans victimisation aucune, nous ne sommes pas tous nées sous la même étoile comme nous le rappelait notre groupe de rap régional sur ce point on peut se fier à l’astrologie ou à Bourdieu avec le déterminisme social car peut ou Prouste ca reviens au même. Dans la vie il y a les acteurs et les sectateurs, ceux qui joue et ceux qui regardent les autres joués ceux qui se jouent de nous. Ceux qui s’amusent à regarder ceux qui ne nous jouent pas puisqu’ils n’ont pas le loisir de jouer à faire semblant d’être des acteurs. De nos jours quand on propose une analyse avec deux options, il est souvent considéré qu’il y en à une de trop, la réalité se composerait exclusivement d’unicité, il est bien trop prétentieux d’aller jusqu’3. Se présenté en quelques lignes n’est pas un exercice facile, synthétiser 51 ans de vie sur une page qui s’agrandis au fils des années comme un arbre qui fournirait des feuilles supplémentaires tous les jours qu’il faut remplir pour exprimer l’essentiel. On choisie pas la météo de sa vie et pourtant l’évolution du caractère dépend énormément, certain jour tu as besoin de lunette de soleil, un autre d’un parapluie, le lendemain de bottes et plus tard de tong sans que personnes ne puisse te reproché de ne pas savoir ce que tu veux, moi, je veux du soleil tous les jours mais les escargots eux veulent de la pluie. L’habit ne fait pas le moine mais la météo t’impose un habit, alors rester couvert. Pendant le confinement j’ai compris que j’habitais plus à Martigues sans bouger d’un centimètre je me retrouvé au carnaval, à ne pas pouvoir choisir ses habit j’en choisirais au moins les couleurs en peignant et dépeignant des mirages 

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